04.10.2022

Réintégration des malades de longue durée : fini, la machine à licencier

Le parcours de réintégration sera davantage mis au service du travailleur. La délégation et le CPPT seront plus impliqués. Ceci afin d’augmenter les chances, pour le travailleur qui souhaite reprendre le travail après une longue période de maladie, de retrouver une fonction adaptée à sa situation, au sein de l’entreprise. 

05.07.2022

Les syndicats rejettent les sanctions inefficaces contre les malades de longue durée

Dans une lettre adressée aux membres du parlement, les trois syndicats appellent à rejeter le projet de loi relatif à la responsabilisation des travailleurs dans le cadre des « trajectoires de retour au travail ».

01.07.2022

Fin de la procédure simplifiée de chômage temporaire force majeure

La procédure simplifiée de chômage temporaire pour cause de force majeure (dans le cadre du coronavirus ou de la guerre en Ukraine, notamment) a pris fin ce 30/06/2022. Un certain nombre de mesures restent toutefois valables jusqu'au 31/12/2022. Ceci peut avoir un impact négatif sur vos allocations, perçues à partir du mois d'août. Nous avons listé pour vous les changements les plus importants.

11.05.2022

La remise au travail des malades doit être une démarche volontaire et positive. Non aux sanctions !

Voici deux semaines, à l’unanimité, les interlocuteurs sociaux s’opposaient une fois de plus à tout mécanisme de sanction dans le cadre de la réintégration des malades de longue durée sur le marché de travail. Plusieurs avis ont été émis en ce sens, émanant tant du CNT que du comité de gestion de l’INAMI. Les interlocuteurs sociaux y insistent sur le fait que cette réintégration doit se faire sur base volontaire, avec un accompagnement des personnes malades qui souhaitent reprendre un travail. Ils demandent qu’une approche positive soit adoptée.

26.01.2022

Accord du G10 sur la flexibilité // Pourquoi la FGTB n’a pas signé

Les employeurs ont réclamé plus de flexibilité pour répondre à l’absentéisme lié au Covid dans les entreprises. Et ils ont eu gain de cause grâce à un accord conclu au sein du G10. Sans données objectives sur les menaces réelles de la vague omicron en termes d’absentéisme, et sans la prise en compte des réalités des secteurs (accords déjà existants, absentéisme fluctuant, …), la FGTB n’a pu souscrire au texte du G10. Sur la base des faits, la FGTB maintient qu’il n’y a aucune raison de céder à la panique en concluant un accord-cadre qui fait sauter des verrous importants du droit du travail.