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La dernière édition de notre baromètre est disponible ! Les voyants sont au vert pour les entreprises qui font des bénéfices historiques, grâce, notamment, à une loi salariale qui les favorise. Les signaux sont nettement moins positifs pour les conditions de travail et le risque de pauvreté. Et si on répartissait mieux les richesses entre le capital et le monde du travail ? Il y a de la marge !
Examinez nos chiffres clés sur la situation socio-économique belge et sur nos revendications.
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La FGTB publie son baromètre socio-économique annuel. Cet outil utilise des chiffres provenant d'institutions nationales et internationales. Il propose une analyse objective de la situation sociale et économique dans notre pays. Dans cette édition, nous examinons l'impact du contexte géopolitique et de la hausse des prix qui en découle sur le pouvoir d'achat des ménages. Le baromètre porte également sur les salaires, les bénéfices des entreprises, le bien-être et la sécurité sociale.
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Près de deux ans après l’irruption d’un invité indésirable dans nos vies, notre société semble être entrée dans une « nouvelle normalité ». Même si les impacts encore visibles sont discrets, la crise est aiguë. Notamment dans les soins de santé, où des dizaines de milliers de personnes travaillent dans l’ombre pour faire face à la crise sanitaire. Dans les familles qui ont perdu leur source de revenus, un ou plusieurs emplois... Parmi les ménages qui ont dû affronter de longues périodes de chômage temporaire. Parmi celles et ceux qui subissent de plein fouet des inégalités que le coronavirus a renforcées.
L’édition 2020 du baromètre socio-économique de la FGTB est sortie. Il met les conséquences de la crise du covid-19 en exergue.
A l’occasion de la journée internationale du travail décent, la FGTB a présenté son traditionnel Baromètre socio-économique. Au travers d’une analyse fine recoupant des données statistiques de plusieurs organismes officiels, la FGTB démontre une paupérisation généralisée de la population, une situation économique en berne et une réalité budgétaire qui rattrape les opérations de maquillages du Gouvernement MR/N-VA.
Le déplacement entre le domicile et le lieu de travail n’est légalement pas considéré comme temps de travail et n’est donc pas rémunéré. Cela signifie-t-il pour autant que ce trajet n’a pas sa place dans la concertation sociale de l’entreprise ? Évidemment non !
Pensons au stress et à la fatigue qui en découlent pour les travailleurs qui sont contraints d’y consacrer beaucoup (trop) de temps et aux répercussions de ces (longs) déplacements sur leur vie professionnelle et familiale, sans oublier les coûts et les risques. Le législateur l’a bien compris. C’est pourquoi il exige, tous les 3 ans, un diagnostic précis doublé d’une concertation sociale sur ce sujet.
Ce sont autant d’arguments pour intégrer la mobilité et lui donner la place qu’elle mérite dans notre action syndicale avec, comme objectif principal, l’amélioration de notre qualité de vie.
La loi concernant le travail faisable et maniable du 5 mars 2017, qui devait permettre une meilleure conciliation entre la vie privée et professionnelle, garantir le bien-être des travailleurs et répondre à la réalité des entreprises, sert essentiellement et avant tout les intérêts des employeurs.
En attendant d’avoir la possibilité d’adoucir les dispositions de cette loi, nous souhaitons vous informer, par le biais de cette brochure, de ses conséquences.
Pour 2018, la FGTB analyse de nouveau la situation économique et la croissance du pays. L'étude est complétée par d'autres indicateurs qui sont également abordés et approfondis : mobilité ; climat ; égalité femmes-hommes ; migration ; etc.
Outre les indicateurs purement économiques (croissance économique, investissements, taux d’emploi, pensions…), la FGTB intègre dans son baromètre 2017 d’autres indicateurs qui donnent des informations sur la qualité de vie des gens. On y trouve notamment des indicateurs sociaux sur la santé, l’enseignement, la conciliation entre vie privée et vie professionnelle ou encore l’égalité hommes-femmes.
Le bien vivre ne se mesure pas uniquement à l’aune du PIB, du taux d’emploi, du revenu médian ou du revenu moyen. L’emploi est une condition nécessaire d’intégration sociale mais il n’est plus une garantie suffisante. A côté du travailleur moyen qui gagne bien sa vie, il y a les ‘travailleurs pauvres’, les migrants, les détachés, les travailleurs intermittents, intérimaires ou à temps partiels, les précaires.