Pour 800.000 travailleur·euse·s, les fêtes auront un arrière-goût amer. Vivre dignement est un droit, avec un salaire minimum de 14 euros de l’heure ! Nous continuons à revendiquer un salaire minimum décent pour tou·te·s !
Accord de gouvernement Alexander Ier
Suite à la formation du nouveau gouvernement exécutif, la FGTB a analysé en profondeur l'accord de gouvernement. S'il y a des points positifs à souligner, nous avons également relevé des éléments négatifs qui n'augurent rien de bon. En plus de ce constat en demi-teinte, la FGTB remarque que certains sujets restent flous et manquent d'ambition pour un vrai virage à gauche.
Pour un salaire minimum à 14€ ! #fightfor14
Pour vivre décemment, un salaire minimum de 14€ brut/heure, 2.300€ brut/mois est indispensable. En Belgique, 800.000 travailleurs, souvent dans les secteurs essentiels, gagnent moins.
Pour une réforme fiscale d’envergure… et juste
Durant cette crise, les pouvoirs publics ont été amenés à combler les trous budgétaires créés par la droite afin de financer une partie du programme de lutte contre la propagation du Coronavirus et de prendre les mesures sanitaires qui s’imposaient. Cet argent emprunté devrait normalement un jour être remboursé. Pour la FGTB, il est inacceptable que les travailleurs paient le prix de cette gestion de la crise. Il est temps de mettre en place une réforme fiscale d’envergure qui soulage les épaules les plus fragiles en déplaçant l’essentiel de la charge sur les épaules les plus robustes.
Comment les eurodéputés belges ont-ils voté sur la politique fiscale?
VoteWatch a publié un rapport sur la manière dont les députés européens belges votent sur les questions de justice fiscale.
Un impôt sur la fortune ? Pour la FGTB il est temps que les choses changent !
Le Capital se met à trembler. La FGTB, la gauche et de plus en plus d’associations de terrain exigent la mise en place d’un impôt sur la fortune.
Enquête de la BNB sur la perte de revenu des ménages liès au coronavirus : Votre avis compte !
La crise du coronavirus touche de nombreuses familles (pertes d’emploi, chômage temporaire, baisse du chiffre d’affaires des indépendants, etc.).