Cette année, la Journée mondiale pour le travail décent, célébrée le 7 octobre, est consacrée aux millions de travailleurs et de travailleuses aux quatre coins du monde qui réclament plus d

44 morts, dont 15 enfants. C’est le énième bilan meurtrier d’une énième agression perpétrée par l’Etat d’Israël dans la bande de Gaza il y a une semaine, le 5 août. La FGTB appelle à reconnaître officiellement l’Etat palestinien, à lever le blocus qui frappe la bande de Gaza et à cesser les échanges commerciaux avec les colonies illégales. L’impunité d’Israël doit cesser.

La procédure simplifiée de chômage temporaire pour cause de force majeure (dans le cadre du coronavirus ou de la guerre en Ukraine, notamment) a pris fin ce 30/06/2022. Un certain nombre de mesures restent toutefois valables jusqu'au 31/12/2022. Ceci peut avoir un impact négatif sur vos allocations, perçues à partir du mois d'août. Nous avons listé pour vous les changements les plus importants.

Chaque année, la Confédération syndicale internationale (CSI) publie un Indice des droits sociaux, le « Global Rights Index », une référence en matière de droits des travailleurs. Cette 9e édition classe 148 pays en fonction du respect des droits des travailleurs et travailleuses et établit la liste des  pays où les violations sont les plus graves.

Ce mercredi 1er juin, en marge du Congrès de la FGTB, une journée de séminaire international était organisée par l’IFSI, l’Institut de coopération syndical intern

La Confédération syndicale internationale, dont la FGTB est membre, réclame au moyen d’une pétition la mise à jour de la base de données des entreprises exerçant dans les colonies israéliennes et ayant « directement et indirectement, permis la construction et la croissance des colonies de peuplement, les ont facilitées et en ont profité ».

Les employeurs ont réclamé plus de flexibilité pour répondre à l’absentéisme lié au Covid dans les entreprises. Et ils ont eu gain de cause grâce à un accord conclu au sein du G10. Sans données objectives sur les menaces réelles de la vague omicron en termes d’absentéisme, et sans la prise en compte des réalités des secteurs (accords déjà existants, absentéisme fluctuant, …), la FGTB n’a pu souscrire au texte du G10. Sur la base des faits, la FGTB maintient qu’il n’y a aucune raison de céder à la panique en concluant un accord-cadre qui fait sauter des verrous importants du droit du travail.